I oh forgiveness. To make me forgive, you allow that I invite to dinner you in the restaurant of the corner ? I asked him for the hopeful look. (ft. chaton lux)

C'est drôlement dangereux de s'attacher à quelqu'un, c'est incroyable ce que ça peut faire mal. Rien que la peur de perdre l'autre est douloureuse. C'est moche de guetter un signe de quelqu'un pour se sentir heureux...

we are young.

- FLASH BACK DE L'APRES-MIDI -

Sifflotant, je marchais sur la plage de la côte ouest, les pieds dans l'eau, mes pieds traînant lentement dans le sable. Mes écouteurs enfoncés dans les oreilles et mon téléphone dans la poche j'avançais comme ça, en chantonnant "Bleeding Out", d'Imagine Dragons, mon groupe préféré. Je tourna la tête, et je regarda les vagues, j'avais tant envie de me baigner, mais je ne pouvais pas, j'avais mes affaires et je ne pouvais pas les "abandonnées" comme ça, surtout pas mon nouveau téléphone, qui coûte bien plus cher que vous ne le croyez. J'avance. Encore et encore, en sifflant. La dernière sensation la plus douloureuse, ce fût celle-ci. Je regardai le sol, quand j'ai violemment percuté un(e) inconnu(e), de plein fouet, je me prit sa tête - à supposer - dans mon épaule gauche. Je me releva, confus, et lorsque je releva la tête ce fût un garçon d'environ 18 ou 19 ans, brun avec les cheveux d'une beauté époustouflante - comme lui héhé - et j'avais bien l'intention de me faire pardonner. Je n'allais pas le laisser comme ça, sans rien faire. je... oh pardon. pour me faire pardonner, vous permettez que je vous invite à dîner dans le restaurant du coin ? lui demandais-je le regard plein d'espoir, et un regard empli de honte.
- FIN DU FLASH-BACK DE L'APRES-MIDI -

Voilà comment je me suis retrouvé en compagnie, de ce Lux. Il était vraiment très mignon, j'ai appris sur le chemin du restaurant, qu'il s'appelai Lux Amadeus, et qu'il venait d'une famille riche. Il était également fils unique, il n'était finalement pas si différent de moi. Je voulais me faire pardonner, parce que je lui avais fait - je crois - un peu mal, les muscles c'est dur non ? Et puis il était vrai, que j'en avais quand même. Et ça pouvait faire un petit peu mal. J'avais pensé à cette rencontre tout le trajet. Une fois arrivés au restaurant, j'entraîna mon nouvel ami, en direction du comptoir pour commander une table pour deux. Hey, tu nous aurais une table pour deux ?
Je connaissais bien le directeur du restaurant, c'était le père d'un copain de mon frère. Compliqué ? Pas du tout. Lorsque nous fûmes assis, à notre table un serveur vint nous donner la carte des menus. Je la pris et la mis devant mon nez afin de choisir un repas, je regarda les salades. Alors comme ça, t'es là depuis pas très longtemps ? Moi j'suis ici depuis trois ans... dis-je la voix se brisant à la fin de mes paroles. Mes yeux se remplirent de larmes, et elles coulèrent. Je repensa à mon passé, si douloureux... Ils m'avaient chassés, parce qu'ils ne supportaient que le petit enfant sage de la ville, soit homosexuel. Quel bande de con, quand on y pense. Je lâcha ma carte sur la table, Je... Excuse moi. lui dis-je pleurant à moitié, me dirigeant vers les toilettes pour hommes. Je poussa la porte, en sanglotant. Je me positionna face au géant miroir devant les lavabos, et posa mes mains écartés sur le même axe de ligne, en repensant à eux. Maman. Alex. Jack. Eux, ils n'étaient plus dans ma vie. Je les déteste. Je suis bien mieux sans eux.

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[flashback]
Ma journée à la plage s’annonçait calme et sans embrouille. J'y étais venu me reposer, mais surtout pour profiter du soleil. Quoi de mieux que le soleil de Greycity ? Franchement, je dirais que rien ne surpasse la météo de l'île. Alors que j'étais bien tranquille sur la sable chaud, je repensais à tous ces américains, qui devaient être noyés sous la pluie depuis le temps. Moi, j'étais heureux d'être sûr l'île. Je n'avais personne pour me dicter ma conduite en dehors de l'établissement. Je menais, on pouvait le dire, une vie de rêve. Alors que j'admirais les vagues, assit dans le sable, j'eu l'idée d'aller me dégourdir les jambes. Je laissa mes affaires là où elles étaient, sans me soucier de ce qui pourrait arriver, en même temps ce n'est parfois pas volontaire. Je suis tête-en-l'air. D'ailleurs, j'avais la tête levée, observant les nuages, me couvrant les yeux avec la main, quand je me suis cogné contre ce beau garçon. J'avais la tête qui s'était mise à tourner, j'étais totalement sonné à cause de ses larges épaules. Il m'adressa soudainement la parole, me vouvoyant en plus de ça, alors que j'arrangeais mes cheveux. Je vis alors son beau sourire et ses magnifiques yeux. «Oh..euh..ce n'est rien !» Je lui sourit alors à mon tour, avant de reprendre. «Un resto? Euhm..oui, pourquoi pas ! Euhm.. tu peux me tutoyer !» Je lui tendis la main, avec un sourire un peu gêné, en rougissant légèrement. «Je..hihi..je m'appelle Lux». *reste calme, respire* me disais-je.
[fin du flashback]
Alors, voilà comment j'ai fait la rencontre de Logan. Il était si mignon que mes yeux brillaient à chaque fois que je le regardait. Et puis son sourire me faisait fondre *détends toi, c'est un simple ami, une connaissance même*. Il m'avait très peu parlé de lui, j'avais fait mon habituel monologue digne de "jracontemavie.com", j'avais parlé de mes parents snob, tu fais que j'étais enfant unique. De tout les trucs dont il avait probablement rien à faire. Il avait l'air d'être un habitué, il devait venir à ce restaurant très souvent tandis que moi, je découvrais. Nous nous étions installés sur une petite table, deux cartes se présentaient devant nous, et je ne pouvais m'empêcher de lui sourire. Il aborda alors un sujet qui lui était sûrement très sensible. Il versa quelques larmes avant de lâcher sa carte et sortit de table. Bien évidemment, je le suivit, un peu choqué de ce qui venait de se passer, mais surtout me demandant ce qui n'allait pas. Je le vis, sanglotant face à ce grand miroir. Je me dirigea vers lui, soupira en m'asseyant sur le rebord du lavabo avoisinant. Je tourna ma tête vers lui, lui faisant un sourire en coin et les yeux doux. «Si..euhm..si tu as quelque chose sur le cœur...dis le moi. Je..je ne suis peut être pas la personne la mieux placée..mais..je peux peut être t'aider..Qu'est ce qui ne va pas ?» Lui dis-je, un peu gêné..

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C'est drôlement dangereux de s'attacher à quelqu'un, c'est incroyable ce que ça peut faire mal. Rien que la peur de perdre l'autre est douloureuse. C'est moche de guetter un signe de quelqu'un pour se sentir heureux...

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Lux m'avait suivi, je m'en était bien douté. Je me sens imbécile, à pleurer comme une madeleine devant lui, à cause mon passé. « Si..euhm..si tu as quelque chose sur le cœur...dis le moi. Je..je ne suis peut être pas la personne la mieux placée..mais..je peux peut être t'aider..Qu'est ce qui ne va pas ? » Je renifla, et le regarda. « Ils m'ont chassés, chassé de chez moi - Sydney - parce que j'avais eu une relation avec un garçon. Ils m'ont haïe, Lux. J'ai été obligé de partir pour venir ici, même ma mère m'a détester... Mon frère avait commencé lui aussi... » lui dis-je tristement. Je ne pus me retenir, de le tirer par le poignet pour qu'il descende du rebord, et qu'il soit debout, pour que je vienne me fourrer dans ses bras. J'aime bien son shampoing. Je sanglotais dans ses bras, venant déposer des larmes sur son épaule. Quand soudain, quelqu'un poussa la porte des toilettes, que je m'enleva des bras de mon nouvel ami, Excuse-moi... lui dis-je essuyant mes larmes avec un mouchoir, et je le regarda en souriant. On retourne à table ? lui demandais-je en souriant. Une fois retourné à table, le serveur arriva. Une salade montagnarde, pour moi s'il vous plaît. lui demandais-je, je lui intima un regard de m'emmener la note à la fin du repas, lui disant que je paierais. Ils avaient l'habitude, quand je venais ici avec quelqu'un c'est moi qui paye. Une fois nos repas arrivé, je commença à manger ma salade. Et, sinon... t'as grandi où ? lui demandais-je puisqu'il ne me l'avait je ne crois pas dit, sur le trajet. Je le regarda, lui et ses yeux marrons, d'une beauté époustouflante. Les miens étaient gris/vert et je les adoraient. Il est mignon, Lux.

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Je fus soudainement pris dans une étreinte chaleureuse, il m'avait raconté son terrible passé, et je le réconfortait en le serrant très fort dans mes bras. C'était inattendu et brusqué, mais comment ne pas profiter de ce moment? Il serrait les poings dans mon dos, laissant quelques larmes sur mon épaule, et moi j'étais là à rougir comme si je me trouvais dans un sauna. Il..il aime les garçons. J'ai bien entendu, il aime les garçons ! Il mit brusquement fin à notre "câlin", lorsqu'une personne entra. J'avais détourné le regard en rigolant. En s'essuyant les larmes il me proposa de me repartir à table. Il était très émotif, ou alors je devais lui rappeler ce pourquoi il a été rejeté. Je ne sais pas. J'effleura sa main, et nous sortîmes des toilettes, le sourire aux lèvres.
Arrivé à table, on s'est regardé une fraction de seconde, et je crois que la BOUM, le coup de foudre. Quoi ? Ça n'existe pas? Eh bien, quand votre cœur bat à un rythme 500 fois plus rapide que d'habitude, alors que vous venez tout juste de rencontrer une personne, vous appelez ça comment ?
Il commanda une salade, et je fis de même. Nous fûmes rapidement servis, et c'est alors qu'il me posa une question. J'étais en pleine dégustation, et je lui répondit, la bouche pleine «Che chui..», j'avala ce que j'étais en train de manger, pour reprendre plus proprement «Excuse moi. Je reprends: Je suis né aux Hamptons, dans l'état de New-York. Tu connais ?» Je lui lança un sourire gêné, je l'avais sûrement mis mal à l'aise. De plus, comparé à lui, je n'avais rien de lourd à porter. Ma famille ne m'a pas aidée, certes, mais j'ai tourné la page. Je repris la parole, un peu maladroitement.. «Euhm..je..j'aime les garçons moi aussi..ça..ça nous fait déjà un point en commun». Oups, j'avais comme l'impression d'avoir remué le couteau dans la plaie sans le faire exprès..«Pas que je...! ..enfin euhm..ni voit pas.. Tu veux un peu d'eau ?» Lui avais-je alors dit, un peu affolé.

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Il avait lui aussi commander une salade, c'est bon la salade. « Che chui.. » Je rigola, il était tellement mignon, lui. « Excuse moi. Je reprends: Je suis né aux Hamptons, dans l'état de New-York. Tu connais ? » Je lui sourit, maladroitement. « Haha, y'a pas de mal. Et ouais, j'y suis allé un été avec un ami, il y a pas très longtemps en vacances. » Il me lança un sourire gêné, je lui rendis presque automatiquement. Comme si j'était un automate. Mais je n'en suis pas un. Enfin, je crois pas. Me dîtes pas que je suis un automate, d'accord ? « Euhm..je..j'aime les garçons moi aussi..ça..ça nous fait déjà un point en commun » Je le regarda, en souriant avec un peu de gêne, et je baissa la tête. Oui, au moins on a un point commun. « Pas que je...! ..enfin euhm..ni voit pas.. Tu veux un peu d'eau ? » me dit-il affolé, par ses paroles. Je releva la tête et le regarda dans le blanc, des yeux. BAM. Vous y croyez vous au coup de foudre ? Jusqu'à maintenant non, mais... On va dire que oui, maintenant... Je lui souriait alors maladroitement. « Je... Hmf. Oui je veux bien s'il te plaît. » lui dis-je toujours mon sourire maladroit au lèvre.
Lorsque nous eûmes finis nos repas, un serveur vint prendre notre commande pour le dessert. Hmmm. Une crème brûlée avec une boule de glace au caramel beurre salé, et... un coulis de chocolat à la chantilly.
lui dis-je en fermant ma carte. Je lança alors à Lux, « Au fait, c'est moi qui paye. Alors lâche toi ! » lui dis-je en lui faisant un clin d’œil discret. Après qu'il ai passé commande, le serveur s'en alla en nous laissant seul. J'te raconte une blague. Qu'est-ce qui est invisible et traverse un champ ? lui dis-je étouffant des rires, et souriant.

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Il m'avait redonner le sourire, nous avions bien mangé, c'était une soirée parfaite.Il était tellement chou. Et puis, si vous aviez vu ses muscles saillants. Bref, je ne résistait pas à l'attraction. C'était la première fois que j'entendais quelqu'un rire plus fort que moi. Il me demanda de me lâcher. Je le regarda quelques secondes «Tu es sûr, tu ne vas pas le regretter ?». Le serveur vint alors prendre notre dernière commande, et un peu subitement, je répondis «LA MÊME CHOSE MAIS AVEC PLUS DE CHANTILLY !». Comment, moi ? Gourmand ? Et en plus de ça profiteur ? Pas du touuuut ! Je rigola, il ne semblait pas l'avoir mal pris. De toute manière, c'était si gentiment demandé. «Tu ne regrettes toujours pas ?». Je lui sourit, toute gêne avait disparu. Bien que je rougissais encore, je me sentais à présent à l'aise avec lui. Le serveur était à peine retourné en cuisine, qu'il me raconta une blague. Qu'est ce qui est invisible et traverse un champ ? Franchement, aucune idée ne m'est venue à l'esprit. J'ai l'habitude de répondre n'importe quoi et de foirer les blagues, alors je ne fis que lui répondre:
«Euh..des extra-terrestres munis d'une combinaison de haute-technologie les rendant invisibles aux yeux des êtres vivants de la terre et qui s'apprêtent à reproduire des signes étranges dans un champ de blé ?»
Arf, j'avais répondu n'importe quoi..Il devait me prendre pour un taré..«Je veux dire..euh..je sais pas»

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Alors qu'il me regarda il me lança, « Tu es sûr, tu ne vas pas le regretter ? » Je le regarda avant qu'il ne commande la même chose avec plus de chantilly. James ? Met la triple dose. lui dis-je en écarquillant les yeux vers le plafond. « Tu ne regrettes toujours pas ? » me demanda-t-il. Toujours pas non. lui lançai un sourire en coin. Nous étions vraiment à l'aise, ensemble. Il m'a sourit en rougissant, il est trop... rougissant ? Wow. Alors il n'est pas insensible à moi... Mmmh tant mieux. Haha. Bref, il est trop mignon. « Euh..des extra-terrestres munis d'une combinaison de haute-technologie les rendant invisibles aux yeux des êtres vivants de la terre et qui s'apprêtent à reproduire des signes étranges dans un champ de blé ? » Je rigola. Hmmm, nan. lui dis-je en souriant. « Je veux dire..euh..je sais pas » je le regarda le plus sérieusement possible, dans le blanc des yeux. Un troupeau de vitre. lui dis-je en explosant de rire. Lorsque le serveur arriva, il nous donna nos assiettes de dessert respective. Je pris une cuillère de chantilly nappé d'un joli petit coulis de chocolat - si vous avez pas faim là je comprends pas - et le lui tendit.

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J'avais explosé de rire, il m'avait regardé si sérieusement, et la réponse était si drôle et insensée que je ne me retenais plus. Nous riions ensemble. Il me faisait de l'effet, ça il n'y avait rien à redire là-dessus. Mais ressentait-il la même chose pour moi ? Je veux dire, est-ce qu'il avait craqué pour mon beau sourire ? Le serveur arriva, et il nous laissa avec nos assiettes débordantes de chantilly. Il avait demandé à ce qu'on mette le triple d'une simple dose de chantilly, quel régal ! Il me sourit, je le sourit, il me tend alors sa cuillère, j'approcha mes lèvres de cette dernière, le regardant dans les yeux. j'avais encore de la chantilly sur le coin de la bouche, et je lui sourit encore une fois. J'approcha de plus en plus ma tête vers lui, inconscient de ce que je faisais, avant de brusquement me reposer sur mon siège. Oh la la, dans quelle situation j'étais. Je ne me contrôlais plus. Il devait me prendre pour un dingue. *respire, c'est juste ton ami, rien de plus, tu l'as rencontré aujourd'hui, le coup de foudre, ça n'existe pas*Je continua de manger aussi proprement que je pouvais (c'est à dire sans m'en mettre partout) mon dessert, le regardant de temps en temps. Je lécha ma cuillère, après avoir tout fini (si je le pouvais j'aurais léché l'assiette aussi), puis réengagea la conversation. «Tu..tu es très drôle. Je comprends pas pourquoi tu es encore célibataire..en..en plus tu es plutôt mignon !» J'avais rougi sur le dernier mot, à ce moment là, c'était mort. Même un aveugle aurait pu voir que je n'étais pas insensible à lui et à son charme. «Pas que..! Je veux dire...euhm...loin de moi l'idée de..Serveur, s'il vous plaît, par ici!». J'avais une nouvelle fois paniqué. Un simple resto entre nouveaux amis qui se termine, en mon sens comme un premier rendez-vous. Je me faisais des histoires. *tu l'as rencontré dans l'après midi, tu ne connais rien de lui, arrête de fantasmer* me disais-je. Je passa une main dans mes cheveux, gêné. Décidément, je ne savais pas m'y prendre avec les garçons..

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Il avait explosé de rire, personne ne résiste à l'envie de rire des blagues que je fait. Il approche ses lèvres de ma cuillère recouverte par la chantilly et du chocolat en filet, il avait encore de la chantilly sur le coin de la lèvre, avec mon index droit, je lui enleva, et mis mon doigt dans ma bouche, pour manger la chantilly. Je pris ma cuillère, et pris de la crème brûlée, elle était vraiment délicieuse ici. Et je porta la cuillère à ma bouche, mangeant avec envie mon dessert. « Tu..tu es très drôle. Je comprends pas pourquoi tu es encore célibataire..en..en plus tu es plutôt mignon ! » Alors là, si vous aviez vu. J'ai rougit jusqu'à la racine de mes cheveux. « Merci, tu sais que t'es mignon toi aussi ? Et j'aime bien comment tu souris. » lui dis-je en souriant.
« Pas que..! Je veux dire...euhm...loin de moi l'idée de..Serveur, s'il vous plaît, par ici! ». avait-il dit tout paniqué La note, s'il vous plaît. lui ai-je demandé.
Une fois que la note était arrivée, j'ai posé les billets nécessaires pour payer, et je pris ma veste noire, qui était sur le dossier de ma chaise, et nous partîmes en direction du comptoir, poser la note. Je... Heum tu veux qu'on aille se balader ? lui demandais-je en ayant pousser la porte du restaurant, et le laissant passer le premier.

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Qui..Moi ?Il me trouvait mignon ? J'avais bien entendu ? IL ME TROUVAIT MIGNON ! À partir de ce moment là, je fus comme transporter dans un autre univers. Je le regardait, les yeux brillants d'espoir, et nous prîmes la direction du comptoir.
La soirée semblait toucher à sa fin. Et je ne voulais pas qu'elle se termine. Il ouvrit la porte et me laissa passer devant. Charmant, galant, beau, drôle, il était parfait. Alors que je boudais déjà le fait de repartir sans lui, il me proposa de prolonger cette soirée par une petite balade. Mon sourire s'élargit d'un coup, je lui répondis «Euh..une..Une ballade, pourquoi pas ! J'ai pas cours demain, j'ai le temps d'en profiter ! D'ailleurs, je ne t'ai jamais vu à l’intérieur de l'université», je souffla un bon coup avant de reprendre «Désolé si je parle trop vite, je crois que tu me fait de l'ef..Non rien oublies». Je parlais trop, beaucoup trop. J'avais même failli lui dire qu'il était attirant. 'Fin, c'est pas si grave de lui dire ça, mais sur le coup, ça voulait tout dire.
Pour en revenir à l'Université, il est vrai que je ne l'y ai jamais vu. Pas une seule fois..Faisait-il partie de l'élite, où était-il un simple habitant ? Une chose est sûr, si on se retrouve à Greycity, il y a une raison. Quelle était sa raison alors ? Je faisais pour ma part partie de ce qui gardait un lourd secret. Ceux qui s'entraînent dans le but de devenir ce à quoi ils sont destinés. À quelle voie étais-je destiné ? Je m'embrouillais les pinceaux, oubliant totalement que je venais de lui dire quelques chose.
Le temps se couvrit alors.. «Oh, nooon ! Il va pleuvoir, j'espère qu'il n'annule pas le feu d'artifice à la plage.....» dis-je alors tristement.
Je n'aimais et je n'aime toujours pas la pluie, c'est de l'eau gelée qui vous transperce le dos comme des millions de petit couteaux aiguisés. Je pris alors sa main, et nous nous abritâmes devant la vitrine couverte d'une échoppe. Alors que je me posais contre la vitre, je lui adressa un regard enjôleur, accompagné d'un léger sourire. «Où tu souhaiterais aller ?»

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« Euh..une..Une ballade, pourquoi pas ! J'ai pas cours demain, j'ai le temps d'en profiter ! D'ailleurs, je ne t'ai jamais vu à l’intérieur de l'université. » « Oh, on ne doit pas être à la même. Je suis dans une pas très loin de la côte, dans une université de musique et de photographie. » l'informais-je, il souffla avant de pouvoir reprendre la parole, « Désolé si je parle trop vite, je crois que tu me fait de l'ef..Non rien oublies. » Avais-je bien entendu, je suis faisais de l'effet, c'est pas compliqué à comprendre. Il me fait de l'effet, je lui en fait aussi, apparemment... Super. Alors que nous marchions côte à côte en direction de la plage, le temps commença à se couvrir. « Oh, nooon ! Il va pleuvoir, j'espère qu'il n'annule pas le feu d'artifice à la plage... » dit-il tristement. Je comprenais, un feu d'artifice est toujours quelque chose de magnifique. Venant d'Australie, je préférais le soleil à la pluie évidemment, je haïe la pluie. On a trop froid, après.
De fines gouttelettes d'eau, tombaient sur nous. Ce serait bientôt des trombes d'eau qui tomberaient. J'ai alors pensé à aller chez moi, ce n'est pas loin de la plage, et puisque c'était notre destination autant y aller, avant d'être trempés et gelés jusqu'au os. « Où tu souhaiterais aller ? » me demanda-t-il, en se posant contre une vitrine, en m'adressant un petit regard enjôleur, et un petit sourire. « Etant donné, qu'il va bientôt pleuvoir des trombes, on peut aller chez moi. C'est à cinq minutes d'ici. » lui dis-je. Il acquiesça d'un hochement de tête, et nous partîmes en direction de la villa. Quelques minutes plus tard - cinq environ - nous étions devant la grande porte blanche. Je pris mes clefs qui étaient dans ma poche, et ouvrit la porte. La première pièce sur laquelle on tombait était la bibliothèque, elle était tout en bas. Puis le premier étage, où il y ma chambre, et une seconde, cuisine, salle de bain etc. Et il y avait mon étage préféré, là où il y avait mon piano et ma guitare, et évidemment le jardin avec la grande piscine. Entre, lui dis-je en souriant. Je le laissa entrer, et referma derrière moi la porte à clef. Nous montâmes, les escaliers en colimaçon et je posa ma veste sur le porte-manteau, et dis à Lux d'en faire de même. Bienvenue chez moi ! lui dis-je en souriant, fier de ma maison. J'avais hérité de beaucoup d'argent, après la mort d'un oncle. Comme je m'occupais - seul - de lui, c'est à moi qu'il avait décidé que reviendrait son argent, et j'en était bien content, de m'être occupé de lui. Surtout, fais comme chez toi ! lui dis-je en souriant, une seconde fois. Si tu veux visiter, tu peux. Bon, je te sers quelque chose ? lui demandais-je, pendant que moi je me sortais un perrier, avec une lamelle de citron sur mon verre, que je pressais toujours dans mon perrier.

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RP FINI.

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